Ange plein de gaieté, connaissez-vous l’angoisse,
La honte, les remords, les sanglots, les ennuis,
Et les vagues terreurs de ces affreuses nuits
Qui compriment le cœur comme un papier qu’on froisse ?
[...]
Voulez-vous qu'on ait foi, Madame, en vos propos,
Ne dites jamais rien qui ne soit vraisemblable ;
Comme la vérité pour l'âme est un repos,
C'est labeur pour l'esprit que d'admettre la fable.
[...]